Je lis, tu joues n°1

Pendant l’été, le centre de loisirs va venir ponctuellement à la bibliothèque où l’on proposera des séances baptisées « Je lis, tu joues ». Le principe? Un temps de lecture suivi d’un temps de jeu pardi! Au programme de ce premier rendez-vous, on va emmener les enfants de 9-11 ans à La Petite école de l’imagination de Rue du monde.

La petite école de l’imagination, Alain Serres, Zaü, Eric Battut, Edmée Cannard, Laurent Corvaisier, Aurélia Fronty, Judith Gueyfier, Vanessa Hié, Delphine Jacquot, Martin Jarrie, Véronique Joffre, Nathalie Novi, Clotilde Perrin, François Place, Lucile Placin, Olivier Tallec, Rue du Monde, 2012

On commence par un temps de mise en bouche avec la racontée de plusieurs extraits de livres mis en scène dans le jeu ou dont l’illustrateur a participé au projet :

Monsieur P’tit sou, Edmée Cannard, Didier jeunesse, 2002 (lu en intégralité)

Bisha, la chèvre bleue qui parlait rrom, Alain Serres, Delphine Jacquot, Rue du Monde, 2012

Le colis rouge, Clotilde Perrin, Rue du Monde, 2007 (album sans texte présenté sur le final  du Carnaval des animaux, Camille Saint-Saëns, Pépito Matéo, Vanessa Hié, Didier Jeunesse, 2011 avec 8 secondes par double page)

Merveilles des merveilles, Jennifer Dalrymple, Nathalie Novi, Didier jeunesse, 2016

Le roi des trois Orients, François Place, Rue du Monde, 2006

Comment Pok l’oiseau inventa les couleurs, Alain Serres, Laurent Corvaisier, Rue du Monde, 2011

Poucette de Toulaba, Daniel Picouly, Olivier Tallec, Rue du Monde, 2005

On poursuit par un temps de jeu avec les enfants, répartis en petits groupes au gré des recoins qu’offre la bibliothèque pour leur permettre de s’essayer aux différentes règles du jeu possibles: bataille d’histoires, tous pour une, en solitaire, ou tout autre règle qui paraîtra pertinente aux joueurs (jouer par équipe de deux, inventer une histoire à partir de plusieurs illustrations, sans jetons, sans aucune illustration, en choisissant de nouvelles images dans des livres de la bibliothèque, en dessinant ses propres jetons etc.

Enfin, on propose un temps de lecture où les enfants sont libres de se plonger dans les ouvrages de Rue du monde, dans d’autres grands albums sélectionnés pour l’occasion, dans n’importe quel titre de leur choix ou même de faire ce que bon leur semble, c’est un temps libre après tout!

 

 

 

Pas d’histoires sans casser des oeufs

Si Pâques est l’occasion d’organiser la traditionnelle chasse aux œufs, ici, nous avons décidé de proposer des histoires aux enfants de plus de 3 ans et leurs parents. Alors, voilà notre suggestion pour allier les récits et les œufs, une petite sélection de volatiles réunie sous l’intitulé « Pas d’histoires sans casser des œufs ! ».

Chaque oeuf voit éclore une bête à plume qui appelle une histoire.

Introduction : Comptine « Dans ma basse-cour, il y a »

Dans ma basse-cour, il y a…
Des poules, des dindons, des oies.
Il y a même des canards,
Qui barbotent dans la mare.

Ca fait, Cot cot cot cot codet,
Cot cot cot cot codet,
Cot cot cot cot codet,
Rock and roll des gallinacés! Yeeeeeah!

Œuf de CANARD : Le tout-petit quoi, France Quatromme, Sandra Solinet, Langue au chat, 2013

Œuf de POULE : La poule qui ne pondait pas, Julie Paschkis, Le Genévrier, 2016

Œuf de POUSSIN : Poucet le poussin, Sally Hobson, Pastel, 1996

Œuf de POULE : La mare aux aveux, Jihad Darwiche, Christian Voltz, Didier Jeunesse, 2006

Œuf d’OISEAU : Le chant de Colombine, Emilie Vast, MeMo, 2014

Raconter l’histoire à l’aide d’un métallonotes par exemple pour jouer au fil du récit les notes de musique des différents oiseaux ainsi que la mélodie finale d’Au clair de la lune.

Œuf de CHOUETTE : Bébés chouettes, Martin Waddell, Patrick Benson, Kaléidoscope, 2016

Œuf d’AUTRUCHE : Monsieur p’tit sou, Edmée Cannard, Didier Jeunesse, 2002

A la fin, en ayant au préalable caché l’œuf dans lequel on a placé la bouteille, la ficelle et le bouton vert, resortir l’œuf d’autruche et le présenter au public.

Œuf de FOURMI : C’est toi ma maman, Eric Battut, Milan Jeunesse, 2006

Conclusion : Comptine « Dans ma basse-cour, il y avait »